Quand j'ai commencé cet article il faisait jour et maintenant il fait nuit.

Je suis dans une phase "haissons l'humanité toute entière" depuis quelques temps. Mais maintenant, cette phase s'amenuise. Je repense aux gens que je connais, à ceux que j'ai recontrés.

Même si je dis que je déteste l'humanité, je ressens un amour profond pour le genre humain, notamment certains de ses spécimens (je n'en fais pas partie.) .

Mon cousin, par exemple. Il ne change pas. En tout cas, pas à mes yeux. Peut-être plus discret pour exprimer ses émotions, mais c'est normal, il devient adulte. Mais son sourire reste le même. C'est bien d'avoir quelqu'un qui ne change pas. Ca permet de rester en contact avec son soi passé. Un instant, il semble que rien n'a changé. Ca ne dure qu'un instant, évidemment, mais ça fait du bien. Ca redonne du courage.

Demain je repars sur Paris. Je quitte la maison de mes grands-parents. Son soleil. Ses grillons. L'air lourd empli des odeurs campagnardes qui, elles aussi, ne changent pas. Ce départ correspond à la fin de l'été, des vacances.

Je relis un livre, un peu dans le désordre. C'était sa couverture qui m'avait attirée. Un corbeau, dessiné avec précision. L'histoire est plutôt compliquée. Les personnages sont étranges. Le personnage principal est blasé. Je l'aime bien, ce livre. Je crois que je vais acheter la suite.

A part ça j'attends toujours la traduction des deux derniers chapitres de Gangsta kuso je désespère et pis comme je m'emmerdais ben j'ai fait un dessin/croquis/truc avec ma tablette graphique donc voilà l'un des personnages principaux, Nicolas.

Il est cool.

Je l'aime.

Sa tête est tordue, je viens de le remarquer.

Et ses yeux, aussi.

Il est cool quand même ok.

Et pis j'ai fait Alex aussi, en plus élaboré. mais c'est de la merde quand même. *part chialer dans un coin*

Sur ce.

PS: le blogrank est à 1.